• Accueil
    Accueil C'est ici que vous pouvez trouver tous les articles posté sur le site.
  • Catégories
    Catégories Affiche la liste des catégories de ce blog.
  • Mots clés
    Mots clés Affichez une liste de tags qui ont été utilisés dans ce blog
  • Blogueurs
    Blogueurs Rechercher votre blogueur favori de ce site.
  • Équipe de blogueurs
    Équipe de blogueurs Trouvez vos équipes favorites de blogueurs ici.
  • Connexion
    Identification Formulaire d'identification

La Guinée équatoriale est le 1er souscripteur étranger de l’emprunt obligataire 2013-2018 de l’Etat camerounais

par dans Economie Africaine
  • Taille du texte: Agrandir Réduire
  • Lectures : 7617
  • 0 commentaires
  • Notifications
  • Imprimer
7617
b2ap3_thumbnail_president_teodoro_obiang_bb.jpg
Selon un rapport-bilan de la Direction générale du Trésor (DGTC) sur l’emprunt obligataire 2013-2018 lancé par l’Etat du Cameroun en décembre 2013, et pour lequel la somme de 80 milliards de francs Cfa a été mobilisée en deux semaines, 12,3% des souscriptions sont venus d’investisseurs équato-guinéens.

Le pays d’Obiang Nguéma est, de ce fait, le premier pays étranger ayant répondu à cet appel public à l’épargne du gouvernement camerounais. En effet, renseigne la DGTC du ministère des Finances, les autres pays étrangers recensés parmi les souscripteurs, à savoir le Congo (1,8%), le Gabon (1,2%) et la Côte d’Ivoire (0,01%), n’ont pas cassé leur tirelire pour le Trésor public camerounais au cours de cette opération, leurs souscriptions cumulées ne représentant qu’un peu plus de 3% des participations reçues. Contre plus de 84% pour les investisseurs camerounais et 12,3% pour ceux de la Guinée équatoriale...

Le classement par types de souscripteurs révèle pour sa part «que 648 entités ont participé à cette opération. Celles-ci sont constituées à plus de 90% par des personnes physiques qui ont obtenu une part de titres de 13,1%».

En clair, bien qu’étant plus nombreux, les particuliers n’ont pas pu surpasser les entreprises, dont les souscriptions culminent à 86,9% de l’enveloppe globale.

En rappel, cet emprunt obligataire 2013-2018, le deuxième le l’histoire des finances publiques camerounaises après celui de 2010, a été introduit à la cote du Douala Stock Exchange (DSX) depuis janvier 2014, permettant ainsi au marché boursier camerounais d’ajouter une nouvelle ligne d’obligations à sa cote.

Agence Ecofin Modifié le
0

Commentaires

  • Pas encore de commentaire. Soyez le premier à commenter

Commenter cet article

Invité dimanche, 22 décembre 2024