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Côte d’Ivoire : Paul K. Fokam dévoile les ambitions ivoiriennes d’Afriland
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Quelques mois après l’officialisation du rachat de la filiale ivoirienne d’Access Bank, le holding bancaire Afriland First Group éclaire sur les ambitions qu’elle nourrit sur ce nouveau marché.
Dans une interview accordée au quotidien L’Inter, le président fondateur du holding suisse, le camerounais Paul K. Fokam, a indiqué que l’agriculture est le secteur auquel il entend d’abord accorder la priorité : « notre banque est une banque universelle. Comme telle, nous comptons soutenir l’économie ivoirienne dans tous les secteurs. Mais il faut dire que nous mettrons un accent particulier sur le secteur agricole. Nous avons la conviction que l’agriculture est d’abord le secteur qu’il faut développer, le secteur qu’il faut impulser pour aussi impulser la croissance.»
Outre l’agriculture, l’autre grand défi d’Afriland sera de réussir le pari de pousser l’économie informelle du pays à effectuer la transition vers le secteur formel. «Le secteur dit informel, doit être développé, sortir de son état informel pour rentrer dans le formel. Et cela nous tient particulièrement à cœur.» indique-t-il.
Un autre axe de l’action du holding sera l’insertion des exclus des circuits de financements classiques dans le système grâce aux possibilités d’accès au crédit qu’il sera en mesure de leur offrir. « Nous avons un certain nombre de structures en marge qui permettent d’intervenir d’abord au niveau du bilan, du fonctionnement et surtout des instruments qui permettent de financer les populations les plus démunies qui n’ont même pas de garantie ou plutôt qui ont des garanties différentes des garanties exigées par les banques classiques.» explique-t-il.
Si l’arrivée d’Afriland en Côte d’ivoire marque les premiers pas du holding dans l’espace UEMOA, celui-ci ne compte pas s’en arrêter là puisque la structure, qui était en 2013 le deuxième groupe bancaire en Afrique centrale, s’installera prochainement au Bénin où la création de sa filiale est actuellement en cours.
Aaron AKINOCHO
Outre l’agriculture, l’autre grand défi d’Afriland sera de réussir le pari de pousser l’économie informelle du pays à effectuer la transition vers le secteur formel. «Le secteur dit informel, doit être développé, sortir de son état informel pour rentrer dans le formel. Et cela nous tient particulièrement à cœur.» indique-t-il.
Un autre axe de l’action du holding sera l’insertion des exclus des circuits de financements classiques dans le système grâce aux possibilités d’accès au crédit qu’il sera en mesure de leur offrir. « Nous avons un certain nombre de structures en marge qui permettent d’intervenir d’abord au niveau du bilan, du fonctionnement et surtout des instruments qui permettent de financer les populations les plus démunies qui n’ont même pas de garantie ou plutôt qui ont des garanties différentes des garanties exigées par les banques classiques.» explique-t-il.
Si l’arrivée d’Afriland en Côte d’ivoire marque les premiers pas du holding dans l’espace UEMOA, celui-ci ne compte pas s’en arrêter là puisque la structure, qui était en 2013 le deuxième groupe bancaire en Afrique centrale, s’installera prochainement au Bénin où la création de sa filiale est actuellement en cours.
Aaron AKINOCHO
EcoFin
Modifié le
Bienvenue à Babi
Bravo pour le développement en afrique